lundi 2 mai 2011

Ben Laden : ça continue !


Les ricains annoncent maintenant qu'un "test ADN" et des "techniques de reconnaissance faciale" confirment la mort d'Oussama Ben Laden. Test dont les "résultats" ne parviendront que d'ici plusieurs jours et qui a été réalisé par des américains, sans que personne ne puisse mener de contre-enquête, le "corps" ayant comme par hasard été immergé pour ne pas que de vilains islamistes puissent se recueillir sur sa tombe (la jurisprudence Rudolf Hess ?). Ce qui n'empêche pas les médiats de titrer "la mort de Ben Laden confirmée par une analyse ADN".

Quand à la photo de ce matin, nous étions naïfs ! Comme l'explique la correspondante de la BBD au Pentagone, "il existe des clichés du cadavre du leader d'Al-Qaida, mais que la Maison Blanche pourrait craindre qu'elles soient trop «sanglantes» pour être dévoilées au grand public ". Vous voyez qu'en fait ils sont gentils : ils nous ménagent... Par contre, pour donner des détails accablants, là, ils sont forts... Ben Laden aurait refusé de se rendre, se serait lâchement abrité derrière une femme, et les membres du commando, eux,l'auraient bien sûr capturé vivant s'il s'était rendu...

A ce propos, première discordance de la version officielle : Alors que le ministère des affaires étrangères pakistanais annonçait que l'opération avait été 100 % américaine, ce qui fut confirmé par "un haut responsable à Washington", voilà qu'on apprend, de la bouche d'Hillary Clinton que la coopération avec le Pakistan a aidé à trouver Ben Laden...

Comme le rappelle le conspirationniste (par ailleurs entouré de juifs) Alex Jones sur son site Prison Planet, la mort de Ben Laden a déjà été annoncée 9 fois par d'éminents personnages :

- Le 18 Janvier 2002 par le président pakistanais Pervez Musharraf.

- Le 17 Juillet 2002, par Dale Watson, l'ancien directeur-adjoint de l'anti-terrorisme au FBI.

- En Octobre 2002, par le président afghan Hamid Karzaï.

- En Novembre 2005, par le sénateur démocrate Harry Reid.

- En 2006, par un rapport des services secrets français.

- Le 2 Novembre 2007, par l'ancien premier ministre pakistanais Benazir Bhutto.

- En Mars 2009, par l'ancien officier au service étranger du département d'état, spécialisé dans les opérations de renseignement en Europe de l'Ouest, et professeur de relations internationales à l'université de Boston Angelo Codevilla.

- En Mai 2009, par le président Pakistanais Asif Ali Zardari.

- Aujourd'hui, par le président américain Barack Obama, sans la moindre preuve vérifiable.

Alors, pourquoi devrions-nous le croire ? Ben Laden est il toujours vivant, ou est-il mort depuis longtemps, qu'en sait-on, au fond ? Et surtout, pourquoi nous bombardent-ils de fausses informations ? On peut y voir trois objectifs :

- A 1 an de la présidentielle, l'opération rejaillit sur la popularité de Barack Obama, comme en témoignent les effusions de joie en Amérique.

- Préparer l'opinion à un attentat sous fausse bannière (ou commis par des islamistes manipulés, de même que des gauchistes et des fascistes le furent pendant les années de plomb) destiné à légitimer une nouvelle intervention militaire.

- Tester la réactivité de l'opinion publique et des médiats à un bombardement d'intox.

Nous, en tout cas, nous ne serons pas dupes !

Addendum : A la décharge des Ricains, la photo-montage n'aurait pas été authentifiée par les experts américains, qui auraient même prévenu une chaîne de la fraude. Ce qui est crédible, puisque les médiats les plus prudents (une poignée) précisaient que la photo n'avait pas été identifiée. On attend donc les " véritables photos " pour se faire une opinion définitive, même si ça pue le canular, au vu des éléments dont nous disposons (ou plutôt dont nous ne disposons pas !!!) à l'heure actuelle.

Le Hamas rend hommage à Ben Laden !



Le mouvement islamiste palestinien Hamas vient de condamner la mort de Ben Laden, le qualifiant de "saint guerrier arabe" et "demandant à Dieu de le traiter avec la miséricorde dûe aux vrais croyants et aux martyrs".

Comme un pied-de-nez à Alain Soral qui, se démarquant d'une vision caricaturale selon laquelle les musulmans formeraient un bloc monolithique, s'était fait l'apôtre d'une vision non moins binaire selon laquelle il fallait distinguer les racailles salafisto-saoudiennes d'un coté (même s'il mit de l'eau dans son vin en se rendant compte que certains de ses supporters étaient salafistes - que voulez vous, il faut ménager sa clientéle...) et les "résistants au nouvel ordre mondial" de l'autre, en premier lieu desquels l'Iran, le Hezbollah et le Hamas, comme si une frontière strictement étanche séparait ces deux catégories (autre exemple : les chiites irakiens étaient autrefois les alliés des kurdes majoritairement sunnites).

Pour résumer, alors que le simplisme islaphomobe absolutise les convergences, le simplisme soralien absolutise les divergences.

Sur ce blog, nous n'aimons pas trop Riposte Laïque, Les Identitaires et Résistance Républicaine. Pas parce que nous sommes des dhimmis, mais parce nous défendons autre chose que la liberté des pédérastes de s'enculer et de se droguer dans les backrooms dégueulasses de leurs dépotoirs dansants, la liberté des grognasses de persécuter les hommes, et la liberté des Juifs de tyranniser l'Aryanité au nom d'une chose que ces étrangers appellent "Shoah" et qui semble est devenu l'objet d'un culte dont les fidèles - et ô combien dévots - sont les zombies goys du Troisième millénaire...

Cela ne veut pas dire qu'il faut se voiler la face : oui, l'Islam, qui est tant une religion, qu'une communauté culturelle, et qu'un système politico-juridique s'impose peu à peu dans l'espace public sans rencontrer beaucoup de résistance, et oui, quand nous serons minoritaires, il est probable que nous devrons vivre dans un pays islamique, même si la laïcisation croissante des immigrés semble indiquer que l'on se rapprochera davantage du modèle turc ou tunisien que du modèle saoudien... Bref, oui, l'Islam est l'ennemi de l'Europe dès lors qu'il y pénètre, et oui, il est notre devoir d'européens de s'y opposer avec la plus grande fermeté. Ce qui ne veut pas dire que nous ne pouvons pas partager certaines valeurs avec les musulmans et maudire autant que certains d'entre eux la modernité, ni que nous ne pouvons pas soutenir, sur le plan géopolitique, certains musulmans, comme les résistants libanais, iraniens ou palestiniens, en prenant garde évidemment de ne pas sombrer dans l'idolâtrie, de rester critiques et d'avoir bien conscience du fait que nos intérêts ne se confondent pas en toutes circonstances.




On se souvient que Soral avait blâmé Marc-Edouard Nabe, son ancien ami (en fait, d'après Nabe, Soral jouait les pique-assiettes, ce qui ne serait guère surprenant), pour avoir clamé son admiration d'Al-Qaïda, de Ben Laden et des attentats du 11 Septembre. Comme son faciès de marsupial l'indique, Nabe est le produit d'un improbable mélange turco-italo-grec, et comme la plupart des produits de la dissolution raciale, il est un des plus enthousiastes apologistes de la mort de la race blanche. Goûtez donc sa prose :

"Je suis très raciste. J'espère que les Noirs vont finir par enculer tous les Blancs et les assombrir pour toujours.
Le métissage n'est pas une solution pour empêcher le racisme mais pour l'accroître. C'est sa seule vertu...
"

" La plus belle race du monde, ce sont les nègres! Sans discussion possible! Race de splendeurs, d'élégance, de magie. Race des rites et de possessions. Les Noirs sont la race la plus noble, celle qui se fait le moins chier, celle qui contient les plus beaux spécimens de merveilles physiques, la race esthète par excellence, celle qui pue la force et la santé, la gaieté et la sagesse, la grâce et le bonheur. Je suis tellement fanatique de pannégrisme que j'ai tendance à mettre tous les nègres dans le même sac. "

" Le Blanc, voilà la sous-race ignoble, celle que je méprise le plus.
Celle qui n'a rien pour elle, que du mauvais, tout mauvais. Ridicule et puis c'est tout. Le Blanc ne transporte rien. Si par malheur il n'est pas juif, je ne donne pas cher de sa peau. Tellement nul que les Noirs n'en feront qu'une bouchée. Nous ne sommes que d'anachroniques sursitaires bien fragiles: peu à peu les goyes disparaîtront.
Si le métissage est provisoire, une technique pour supprimer l'homme blanc de la terre, alors je suis d'accord. Que trois ou quatre nègres bien membrés viennent nous bouffer ces millions d'Américains, de Russes, d'Allemands, de Français, d'Italiens, d'Espagnols, d'Anglais, de Roumains, de Suisses, d'Australiens et d'Ardennais!
Tout pour les Noirs! Si vous avez besoin de renfort, les Arabes et les Jaunes viendront vous donner un coup de main, mais je vous en prie: faites nous crever!
"

Regardez un peu Nabe se tortiller sur sa chaise, alors qu'il est attaqué par la lesbienne constipée Caroline Fourest (cherchez pas, toutes les femmes sont constipées) pour racisme, tandis qu'effectivement, le fait de qualifier Rama Yade (la femme d'un chanteur yiddish) d' "africaine" était, dans sa bouche, un grand compliment :


Nabe dérape sur les Africains, Fourest relève par prochoix

Avec de telles merdes, il est important de ne pas céder à la violence, car il y a d'autres solutions. Débarquer dans une séances de dédicaces ou un salon du livre, afin de discuter avec lui, par exemple. Éventuellement, s'il fait froid, munis de gants, et, si vous vous êtes cassé une jambe, de béquilles...

Quelques faits divers




- Une femme canadienne de mauvaise vie fréquentait des africains, et mal lui en a pris. Elle fut violée analement le congolais Hilaire Dyat, qui prétendit que c'était au contraire elle qui l'avait violé afin de subtiliser son sperme pour avoir un enfant hybride. Justice immanente ?

- Un vieil homme de 67 ans (présenté par sites comme un homme de 47 ans) a été retrouvé le nez et les oreilles tranchés par un trentenaire maghrébin prénommé Habib, qui a été incarcéré préventivement. Le maghrébin a également tiré sur le vieillard avec une arbalète, l'a frappé avec une batte de base-ball et poignardé une vingtaine de fois. Le pronostic vital de la victime est engagé. Cette chance pour la France n'est pas le seul malade mental nord-africain sévissant sur notre territoire, comme en témoignent les avis de recherche de la police nationale.

- Une nonagénaire américaine vendait des kits pour se suicider sur Internet. L'un de ses clients s'est donné la mort. Tandis que cette vieille folle, dont la race n'a pas été précisée, ne sera l'objet d'aucune poursuite judiciaire, on se souvient de l'extradition au Canada du martyr révisionniste Ernst Zundel à laquelle avaient procédé les autorités yankees, le vouant à des années de tortures dans les geôles canadiennes.

- Un courageux boulanger Français, braqué par une racaille ayant placé son couteau sous la gorge du commerçant, lui tordit le bras et le fit fuir à l'aide d'un morceau de plexiglas.

- Une gabonaise a battu son fils de trois ans à mort. Pour les riverains, il s'agit d'un acte de sorcellerie, l'enfant ayant selon eux été "mangé mystiquement".

Ben Laden est-il mort ?

C'est ce qu'annoncent les médiats. En guise de preuve photographique (le cadavre, lui, aurait été immergé en mer "pour éviter de faire de sa tombe un lieu de pélerinage", ben voyons...), nous avons droit à une photo dont tout indique qu'elle est un montage photoshop, tant les deux parties du visage sont dissemblables :



Une simple recherche sur l'excellent Tineye nous montre que cette photo apparaît depuis Novembre 2010 sur la toile (un site propalestinien en l'occurence, "windowintopalestine") :



Ce serait en fait le mix de ces deux photos :



D'après Barack Obama, Oussama Ben Laden aurait été tué par un commando américain dans la ville pakistanaise d'Abottabad, à une cinquantaine de kilomètres au Nord-Ouest de la capitale Islamabad. L'opération n'aurait duré qu'une quarantaine de minutes, et Ben Laden aurait été localisé grâce à la surveillance d'un "messager" proche de Ben Laden qui aurait duré plus de quatre ans.

Si l'ensemble du monde politique occidental se réjouit, on craint des représailles.

L'occasion pour nous de diffuser un petit condensé consacré au 11 Septembre.

Même si, cela dit, ce n'est pas notre sujet de prédilection. De toutes façons, contrairement à l'image qui est véhiculée par les médiats, le Djihad est en décrépitude dans le monde entier et la plupart des attentats en Europe sont dûs à des groupes armés gauchistes ou séparatistes (ou les deux) - bien que les attentats du World Trade Center et de Madrid, attribuées aux islamistes, aient été spectaculaires et très meurtriers.

dimanche 1 mai 2011

Championne


Elle mérite une médaille parce qu'à ce stade de théâtralité dans l'ethnomasochisme, les convictions raciales les plus fermes s'estompent un moment, et notre regard de se perdre, comme fasciné par les convulsions et les couinements hystériques de la nouvelle égérie de LO... Je veux parler de Nathalie Arthaud, qui donne un coup de jeune à la formation trotskiste, qui était incarné depuis des décennies par une androgyne ménopausée aux allures de clocharde.

Nat' (soyons familier) est féministe, trotskiste et enseignante. Un cocktail explosif. La masculinité de ses traits et de ses élans laisse deviner des tendances saphiques (c'est souvent le cas chez ces Simone de Beauvoir de série Z, tant elles haïssent les hommes - surtout quand ils sont blancs et non-juifs).

Face à de telles connes (et à leurs confrères masculins, du genre Mélenchon ou Besancenot), les patriotes sont vite tentés de réduire au tout-économique en expliquant, grossièrement, que le libéralisme gauchiste fait le jeu des patrons, qu'il leur permet de générer du dumping social,afin de faire baisser les salaires, dont sont victimes "à premier titre, les immigrés eux-même", et encore de promettre un monde merveilleux où grâce au "co-développement" tout le monde vivrait heureux avec les siens dans un monde parfait promis à la paix et à la prospérité éternelles...

Disons-le tout de suite, tout cela n'est que très partiel. Si vraiment la sphère économique déterminait à elle seule les décisions politiques, les immigrés n'auraient jamais été régularisés. L'immigration de Travail ne serait jamais devenue une immigration de peuplement, comme c'est le cas depuis le regroupement familial. A ce propos, Anne Kling vient de publier une étude assez intéressante sur le GISTI, en plusieurs parties, sur son blog. Le "Groupe d'information et de soutien aux travailleurs immigrés", piloté par une bande d'énarques socialisants, aurait tenu un rôle-clé dans la marée migratoire qui déferle continuellement depuis plusieurs décennies sur notre beau pays... Quand au "co-développement", il s'agit d'une utopie. Voici ce qu'en disait Guillaume Faye :

" Une quatrième solution, imaginée par les républicains humanistes qu'effrayaient les expulsions (légales, mais illégitimes à leurs yeux) fut l'aide au retour. L’“inversion des flux” a été tentée par Raymond Barre on donne un pécule aux migrants et ils partent se réinstaller chez eux. Ça ne fonctionne pas, car rester et “vivre au bled” ne les intéresse pas. Et, au mieux, ceux qui partent reviennent, après avoir touché la somme offerte. Utopie d'économistes et d'hommes de cabinet.

Aider les pays exportateurs de populations n'est pas efficace et trop coûteux. Il faudrait repenser toute l'économie-monde pour que cette solution intellectualiste fonctionne !

J'ai jadis défendu cette solution, mais je n'y crois plus du tout. Il est trop tard, beaucoup trop tard. Le calcul était le suivant : nous allons aider les pays exportateurs de migrants à créer des emplois chez eux, à développer leur économie et, en même temps, nous allons offrir une prime au départ pour les immigrés qui rentreront au pays. Ils y trouveront donc plus d'intérêt économique que de rester en France. C'était une vision typiquement abstraite, une de ces fausses bonnes idées, brillantes mais creuses, de la tradition intellectuelle française. On a appelé cela le “codéveloppement”, encore un de ces concepts sans signification. L'aide au retour comme l'aide à la création d'emplois dans les pays exportateurs de migrants est un fiasco puisqu'il est plus intéressant économiquement de rester en France pour un immigré compte tenu des allocations et aides qu'il perçoit, mais également parce qu'il est prestigieux pour lui de s'installer en Europe.

La circulaire du 19 janvier 1998 prévoyait une prime de 4500 F par adulte, de 900 F par enfant et une aide pour les projets de réinsertion financés par l'OMI, l'Office des migrations internationales. L'argent public était, évidemment, une fois de plus sollicité pour aider ces malheureux immigrés. Il fallait s'y attendre : seulement 600 personnes, tous clandestins sans-papiers, ont accepté cette solution ! Et il y a fort à parier qu'après avoir touché le pactole, ils sont revenus. On avait prévu 10.000 demandeurs... Mais Martine Aubry, cette vraie boîte-à-idées technocratiques, a trouvé une autre solution en novembre 1998 : le retour au pays d'origine contre une “aide à la réinsertion professionnelle” sur place et... un visa de circulation temporaire en France. Le coût serait inférieur à celui d'une reconduite à la frontière, qui est de 35.000 F par expulsé... La mesure visait les Maliens, Sénégalais et Marocains. Aucun ne s'est présenté."


La seule solution, à vrai dire, pour rendre l'immigration non-rentable, ce serait de nous saborder nous-même afin de nous rendre plus pauvres que les Africains. Ce qui, en dehors des désagréments matériels, nous laisserait à la merci de peuples moins scrupuleux, comme les Jaunes dont l’avènement semble imminent. Et encore, ça ne suffirait même pas ! Beaucoup d'immigrés sont nés ici et n'imaginent pas partir vivre ailleurs. Et ils sont certainement près de vingt millions. Et ils font plus d'enfants que nous...

Non, la seule solution, c'est d'expulser tous les extra-Européens d'Europe et de veiller à la sauvegarde de nos intérêts et de notre puissance dans le monde entier. Qui n'avance pas recule. Le politique suppose l'interaction d'au moins deux acteurs différents. Et il y a toujours un dominant et un dominé. C'est comme ça depuis que la Terre existe. Il faut s'y faire. Si nous sommes envahis, c'est parce que nous sommes faibles, que nous n'opposons aucune résistance à l'invasion de notre pays et que nous l'encourageons, même, que nous donnons nos maisons, nos femmes et notre argent aux hordes de sauvages africains. Quand un peuple refuse la lutte, la vie reprend ses droits et il est impitoyablement voué à la destruction.

Mais surtout, cette réduction au "tout-économique" laisse entendre que le seul objectif de la lutte contre l'immigration est de permettre la prospérité et que, tous comptes faits, nous pourrons accueillir ces braves africains quand la Croissance se remettra en route comme au temps des trente glorieuses... Le fait racial est toujours nié. Le seul écart que l'on se permet, c'est de descendre l'Islam, certes, mais au nom de valeurs libérales et progressistes. Pauvre France !







Adolf Hitler, lui, allait droit au but :

" L'Autriche allemande doit revenir à la grande patrie allemande et ceci, non pas en vertu de quelconques raisons économiques. Non, non : même si cette fusion, économiquement parlant, est indifférente ou même nuisible, elle doit avoir lieu quand même. Le même sang appartient à un même empire. Le peuple allemand n'aura aucun droit à une activité politique coloniale tant qu'il n'aura pu réunir ses propres fils en un même Etat. Lorsque le territoire du Reich contiendra tous les Allemands, s'il s'avère inapte à les nourrir, de la nécessité de ce peuple naîtra son droit moral d'acquérir des terres étrangères. La charrue fera alors place à l'épée, et les larmes de la guerre prépareront les moissons du monde futur. "

Nous n'avons pas, nous, la chance d'être menés par un homme d'une telle trempe. Nous devons nous contenter de Marine Le Pen. Autres temps, autres moeurs...

Les traditions se perdent !

C'est le Maréchal Pétain qui, en 1941, fait du 1er Mai la fête du travail, journée fériée (elle était chômée depuis 1919) et payée où les français (comme ils en avaient déjà l'habitude avant l'institution de la fête du Travail) s'offrent mutuellement du Muguet en honneur de l'arrivée du Printemps. Voyez un peu ces jolies affiches :





Mais Pétain avait aussi eu la bonne idée de dissoudre les syndicats, salariés comme patronaux, en instituant la charte du Travail :



Après l'invasion africano-anglo-américaine de la France en 1944 (émaillée de viols), ces organisations anti-françaises, tantôt noyautées par les trotskistes, tantôt à la solde de Moscou, tantôt même de connivence avec les syndicaux patronaux (pas moins anti-français qu'eux) n'ont eu de cesse de prendre la France en otage au service de leurs intérêts politiques marxisants. Je sais, moi aussi, à quel point le travail moderne est éreintant, ingrat, en un mot inhumain, et à quel point les patrons peuvent être méprisants et odieux avec leurs salariés (il y a pire : les cadres employés de bureau au service des multinationales ! Surtout quand ce sont des femmes !). Mais il importe de ne pas confondre la justice sociale avec l'égalitarisme niveleur et la chimérique "lutte des classes" communiste, qui n'est bonne qu'à dissoudre les Nations au profit de l'avénement d'une Nomenklatura cosmopolite. Car qui peut prétendre que Bernard Thibaut, Pierre Laurent, Alain Krivine ou Jean-Claude Mailly gagnent le SMIC ? Qui peut occulter les scandales auxquels se sont livrés des gens qui prétendaient les travailleurs et en profitaient pour s'en mettre plein les poches ? Il faut bien le comprendre : les communistes, ils en ont rien à foutre du petit peuple ! C'est de la comédie, tout ça ! Voyez un peu ce qu'en disait Louis-Ferdinand Céline, lui qui avait été tenté par le communisme, à son retour d'URSS :

" Capital ! Capital ! Faut plus rugir, c'est toi tout entier, Prolo ! de la Rolandique au croupion... Popu, t'es seul ! T'as plus personne pour t'accabler ! Pourquoi ça recommence les vacheries ?... Parce qu'elles remontent spontanées de ta nature infernale, faut pas te faire d'illusion, ni de bile, sponte sua. Ça recommence. Pourquoi le bel ingénieur il gagne des 7000 roubles par mois ? Je parle de là-bas en Russie, la femme de ménage que 50 ? Magie ! Magie ! Qu'on est tous des fumiers ! là-bas comme ici ! Pourquoi la paire de tatanes elle coûte déjà 900 francs ? et un ressemelage bien précaire (j'ai vu) dans les 80 ?... Et les hôpitaux ? Celui, le beau du Kremlin à part et les salles pour " l'Intourisme ". Les autres sont franchement sordides ! Ils ne vivent guère qu'au 1/10e d'un budget normal. Toute la Russie vit au dixième du budget normal, sauf Police, Propagande, Armée... Tout ça c'est encore l'injustice rambinée sous un nouveau blase, bien plus terrible que l'ancienne, encore bien plus anonyme, calfatée, perfectionnée, intraitable, bardée d'une myriade de poulets extrêmement experts en sévices. Oh ! pour nous fournir des raisons de la déconfiture canaille, de la carambouille gigantesque, la dialectique fait pas défaut !... Les Russes baratinent comme personne ! Seulement qu'un aveu pas possible, une pilule qu'est pas avalable : que l'Homme est la pire des engeances !... qu'il fabrique lui-même sa torture dans n'importe quelles conditions, comme la vérole son tabès... C'est ça la vraie mécanique, la profondeur du système !... Il faudrait buter les flatteurs, c'est ça le grand opium du peuple... "

Cette année, les syndicats marxistes furent particulièrement fielleux, particulièrement toxiques puisqu'ils placèrent leur défilé sous le signe du soutien aux envahisseurs de l'Europe.


Un manifestant aux origines douteuses éructe sa haine de la France


Et ce, alors qu'un sondage paru récemment plaçait Marine Le Pen en tête des intentions de vote des Ouvriers à hauteur de 36 % (même si, et on ne le rappelle pas assez souvent, les Ouvriers s'abstiennent plus qu'ils ne votent pour le Front National). Certainement parce qu'ils veulent préserver la France et l'Europe de l'invasion allogène. Mais ont-ils raison de faire confiance à Marine Le Pen pour cela ? Ne connaissent-ils pas les déclarations puantes d'antiracisme de Fifille ? Ne savent-ils pas qu'elle est à l'origine de l'affiche de la maghrébine en string(en fait, elle serait antillaise, ce qui ne change rien au problème) de la campagne présidentielle de 2007 ? N'ont ils pas entendu parler des manoeuvres de l'africain mariniste Stéphane Durbec pour s'attirer les bonnes grâces des musulmans marseillais ? C'est ça le drame de notre pays : personne n'a d'esprit critique, personne ne prend jamais le temps de réfléchir...

Selon une tradition qui date de 1920, le deuxième Dimanche de Mai est une fête patriotique en l'hommage de Jeanne d'arc (que continuent de célébrer, encore de nos jours, des nationalistes proches, notamment, de cercles catholiques traditionalistes et royalistes - cette année, c'est le 8 Mai) :



Depuis 1988, le Front National organise lui aussi un défilé en l'hommage de Jeanne d'Arc le 1er Mai. Les skinheads y avaient toujours été tolérés en catimini, et on leur avait même proposé, certaines années, de faire la sécurité du cortège, comme le rappelle le site antifasciste Droites Extremes (à propos de Brahim Bouarram, on mesure à la lecture de cet article l'ignominie des DPS qui avaient joint leurs forces à celles du système -sans que rien ne les y oblige- pour permettre l'arrestation de nationalistes français). Cette année, en revanche, les skinheads (entendez tous les jeunes qui ont ne serait-ce qu'une Harrington Lonsdale, un polo Fred Perry ou les cheveux un peu courts) furent bannis du défilé. Marine annonça même qu'elle proscrivait les croix celtiques ! Qui fut pourtant l'emblème d'Ordre Nouveau, d'où est issu le Front National (mais c'était à l'époque de Brigneau, de Duprat et de Roland Gaucher, pas à l'époque de Sulzer, de Briois et de Louis Aliot) ! Mais on marche sur la tête dans le nouveau Front National ! Même les références à Jeanne d'Arc ont failli être expurgées ! C'est qu'il ne faut pas faire d'ombre à la "reine républicaine" (dixit une cinglée mariniste) ! Voyez-vous même le premier modèle d'affiche du Front Marinal :



Quand ce fut remarqué, on confectionna une deuxième affiche pour ne pas mettre mal à l'aise ceux de la vieille garde qui ne sont pas encore partis, mais tout le monde aura aisément compris ce que tout cela veut dire :



Quand Jean-Marie Le Pen n'hésitait pas à honorer le Maréchal, sa fille, elle, se réclame [des] "combats des grands destins républicains, de Victor Schoelcher à Charles de Gaulle", autrement dit d'un franc-maçon héros de la cause nègre, et d'un minable arriviste anglomane qui persécuta des dizaines de milliers de patriotes Français coupables d'avoir servi leur pays tandis qu'il s'était lâchement réfugié à Londres, refusa de gracier le grand écrivain Robert Brasillach, partagea son gouvernement avec des communistes, nomma l'agent de la banque Rotschild George Pompidou premier ministre, et trahit honteusement les pieds-noirs après les avoir bercés de douces illusions...

Bref, la fête du Travail instituée par Pétain est devenue celle du marxisme, le défilé patriotique du FN est devenu une ode aux pires ennemis de la France... Comme on dit, c'était mieux avant !

Football français : l'hystérie antiraciste !

Avec l'affaire des "quotas dans les centres de formation", on prend la mesure de la tyrannie du politiquement correct dans ce pays et du formatage des consciences. C'est entendu : les dirigeants du foot français sont d'affreux racistes qui discriminent les Noirs au profit des Blancs... Dans la vraie vie, les équipes de football, et en premier la sélection nationale "française" est si noire que ces cris d'orfraie sont ridicules au dernier degré ! Voyez vous-même l'équipe de France-Espoirs (dont le sélectionneur est accusé de racisme dans cette affaire) :



Et que dire de la sélection elle-même :



En réalité, ce sont les joueurs de football Blancs qui sont discriminés et exclus par les racailles arabo-africaines, comme l'expliquait Vikash Dhorasoo. On se souvient d'ailleurs du calvaire que vivait Yoann Gourcuff, en butte aux brimades des racailles de l'équipe de France, dirigés par de petits caïds comme Patrice Evra ou Bilal Ribéry (une racaille blanche convertie à l'Islam).

Alors qu'en est-il en réalité ? C'est très simple. La discussion qu'on eu, lors d'une réunion, Laurent Blanc et d'autres responsables du football français vient d'être retranscrite. Il était question de deux problèmes. D'une part, du grand nombre de joueurs bi-nationaux qui, après avoir profité des centres de formation Français, partent jouer dans des sélections étrangères :

Erick Mombaerts: Est-ce qu'on s'attelle au problème et on limite l'entrée du nombre de gamins qui peuvent changer de nationalité? Oui? Non? Donc, auquel cas, on est obligé de le faire sous le coude. C'est-à-dire on est obligé de le faire... Mais est-ce qu'il faut le faire. Je pense que tout le monde doit être concerné, là. Laurent, qu'est-ce que t'en penses?

Laurent Blanc: Moi j'y suis tout à fait favorable. Sincèrement, ça me dérange beaucoup. Ce qui se passe dans le football actuellement, ça me dérange beaucoup. A mon avis, il faut essayer de l'éradiquer. Et ça n'a aucuneconnotation raciste ou quoi que ce soit. Quand les gens portent les maillots de l'équipe nationale des 16 ans, 17 ans, 18 ans, 19 ans, 20 ans, Espoirs, et qu'après ils vont aller jouer dans des équipes nord-africaines ou africaines, ça me dérange énormément. Ça, il faut quand même le limiter. Je dis pas qu'on va l'éradiquer mais le limiter dans ces pôles-là...


Cela n'avait rien à voir avec les origines, en soi, des joueurs en question, Laurent Blanc étant un antiraciste rabique :

" Moi c'est pas les gens de couleur qui me posent un problème. C'est pas les gens de couleur, c'est pas les gens nord-africains. Moi j'ai aucun problème avec eux. Mais le problème, c'est que ces gens-là doivent se déterminer et essayer qu'on les aide à se déterminer. S'il n'y a - et je parle crûment - que des blacks dans les pôles (de jeunes, ndlr) et que ces blacks-là se sentent français et veulent jouer en équipe de France, cela me va très bien. "
"


Le sélectionneur de l'équipe de France espoirs, dont nous avons vu plus haut qu'il n'est, c'est le moins que l'on puisse dire, pas du tout raciste explique lui même dans l'Equipe que : "Que 26 joueurs sur 30 qui passent par l'INF rejoignent une sélection étrangère, ça ne vous choque pas ? Ce n'est pas normal qu'on se pose le problème ? On a mis en place des structures nationales qui servent aux autres. Quelle que soit leur origine, une majorité de Français, en sachant ça, doit se dire qu'on est fou. Moi en tout cas, je trouve ça normal qu'on ait posé le débat. C'est notre boulot, et c'est dommage de devoir se justifier, surtout que cette discussion en est restée au stade de la discussion. Il n'y a eu aucune conséquence."

Par ailleurs, il fut question de la surreprésentation d'un certain profil de joueurs au détriment des autres :

Laurent Blanc: On veut pas éliminer les étrangers, pas du tout, mais faire en sorte que les pôles Espoirs ou les pôles de la DTN testent sur des critères mieux définis pour pouvoir attirer d'autres personnes, parce que si on a toujours les mêmes critères, y aura toujours les mêmes personnes. Et plus ça va, plus ça va être encore davantage. Parce que je suis sur les terrains tous les samedis, je vois quelques centres de formation: on a l'impression qu'on forme vraiment le même prototype de joueurs: grands, costauds, puissants. Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants ? Les blacks. Et c'est comme ça. C'est un fait actuel. Dieu sait que dans les centres de formation, dans les écoles de football, ben y en a beaucoup. Je crois qu'il faut recentrer, surtout pour des garçons de 13-14 ans, 12-13 ans, avoir d'autres critères, modifiés avec notre propre culture. Je vais vous citer les Espagnols: ils n'ont pas ces problèmes-là. Ils ont des critères de jeu qui sont très précis, à 12-13 ans.

Erick Mombaerts: C'est ça le projet.

Laurent Blanc: Avec notre culture, notre histoire, etc. Les Espagnols, ils m'ont dit: "Nous, on n'a pas de problème. Nous, des blacks, on n'en a pas."

Erick Mombaerts: Mais Laurent, le phénomène que tu évoques, c'est tellement ancré chez nous que les petits gabarits blancs qui sont dans les pôles Espoirs, les clubs pro me les laissent sur les bras. Ils ne les prennent pas, n'importe comment, même si c'est des bons joueurs!

Laurent Blanc: Les clubs ils auront toujours leurs critères de sélection. Ça tu pourras pas... Même si en formant des éducateurs, tu vas pouvoir peut-être à la longue changer un petit peu les choses, ou influencer un peu. Mais c'est surtout dans les pôles qu'il faut avoir ces critères-là. Un participant sort de ses gonds et rappelle qu'un bon joueur est efficace quelle que soit sa couleur de peau, rouge ou blanche, sa taille, grande ou petite.

Laurent Blanc: Oui, mais en ce moment tu n'as pas le choix puisque tu as toujours le même stéréotype de joueurs, tu exagères. Je vois les centres de formation, je les vois de Bordeaux, des cités, et tu as toujours le même stéréotype de joueurs, je suis désolé ! Tu vas aller au centre de formation de Bordeaux, tu vas prendre les joueurs, mais des petits bons joueurs, tu n'en auras pas. Donc il faut inciter.


Il est tout à fait naturel que ce genre de questions soient posées (simplement posées, c'est ça le pire !) pour l'avenir du football français. Le déchaînement médiatique et le bêlement en coeur des moutons télévores nous rappellent que l'on vit dans un pays de fous furieux. Et les piteuses excuses de Laurent Blanc (qui a nommé l'arabe Samir Nasri capitaine de l'équipe de France) n'y changeront rien.

Le seul, en dehors des incriminés, à faire preuve de bon sens, c'est Didier Deschamps : " On ne peut pas croire à de telles réunions et à de telles décisions. Regardez notre équipe, il y a des joueurs qui viennent d'Afrique noire, d'Afrique du Nord ou encore d'Amérique du Sud. Ça créé le buzz, mais je suis comme Saint-Thomas, je ne crois que ce que je vois. Après, ce n'est que du bla-bla. Il est très grave de porter de telles accusations. Laurent Blanc, je l'ai côtoyé comme joueur dans le groupe France 98 qui fut une équipe multiraciale. Je ne peux pas penser qu'il puisse être associé à de telles décisions. On était fier et on l'est toujours de cette identité. "

Il n'empêche que quand Anne Lauvergeon, la présidente d'Areva, disait " A compétence égale, et bien désolé, on choisira la femme, ou on choisira la personne venant d'autre chose que le male blanc...", ils n'étaient pas si excités, ces connards de journalistes gauchistes...

Laissons le mot de la fin à Serge de Beketch :


Beketch, Chirac et le foot par angel_guts

Parce que le foot, c'est de la merde...