dimanche 1 mai 2011

Football français : l'hystérie antiraciste !

Avec l'affaire des "quotas dans les centres de formation", on prend la mesure de la tyrannie du politiquement correct dans ce pays et du formatage des consciences. C'est entendu : les dirigeants du foot français sont d'affreux racistes qui discriminent les Noirs au profit des Blancs... Dans la vraie vie, les équipes de football, et en premier la sélection nationale "française" est si noire que ces cris d'orfraie sont ridicules au dernier degré ! Voyez vous-même l'équipe de France-Espoirs (dont le sélectionneur est accusé de racisme dans cette affaire) :



Et que dire de la sélection elle-même :



En réalité, ce sont les joueurs de football Blancs qui sont discriminés et exclus par les racailles arabo-africaines, comme l'expliquait Vikash Dhorasoo. On se souvient d'ailleurs du calvaire que vivait Yoann Gourcuff, en butte aux brimades des racailles de l'équipe de France, dirigés par de petits caïds comme Patrice Evra ou Bilal Ribéry (une racaille blanche convertie à l'Islam).

Alors qu'en est-il en réalité ? C'est très simple. La discussion qu'on eu, lors d'une réunion, Laurent Blanc et d'autres responsables du football français vient d'être retranscrite. Il était question de deux problèmes. D'une part, du grand nombre de joueurs bi-nationaux qui, après avoir profité des centres de formation Français, partent jouer dans des sélections étrangères :

Erick Mombaerts: Est-ce qu'on s'attelle au problème et on limite l'entrée du nombre de gamins qui peuvent changer de nationalité? Oui? Non? Donc, auquel cas, on est obligé de le faire sous le coude. C'est-à-dire on est obligé de le faire... Mais est-ce qu'il faut le faire. Je pense que tout le monde doit être concerné, là. Laurent, qu'est-ce que t'en penses?

Laurent Blanc: Moi j'y suis tout à fait favorable. Sincèrement, ça me dérange beaucoup. Ce qui se passe dans le football actuellement, ça me dérange beaucoup. A mon avis, il faut essayer de l'éradiquer. Et ça n'a aucuneconnotation raciste ou quoi que ce soit. Quand les gens portent les maillots de l'équipe nationale des 16 ans, 17 ans, 18 ans, 19 ans, 20 ans, Espoirs, et qu'après ils vont aller jouer dans des équipes nord-africaines ou africaines, ça me dérange énormément. Ça, il faut quand même le limiter. Je dis pas qu'on va l'éradiquer mais le limiter dans ces pôles-là...


Cela n'avait rien à voir avec les origines, en soi, des joueurs en question, Laurent Blanc étant un antiraciste rabique :

" Moi c'est pas les gens de couleur qui me posent un problème. C'est pas les gens de couleur, c'est pas les gens nord-africains. Moi j'ai aucun problème avec eux. Mais le problème, c'est que ces gens-là doivent se déterminer et essayer qu'on les aide à se déterminer. S'il n'y a - et je parle crûment - que des blacks dans les pôles (de jeunes, ndlr) et que ces blacks-là se sentent français et veulent jouer en équipe de France, cela me va très bien. "
"


Le sélectionneur de l'équipe de France espoirs, dont nous avons vu plus haut qu'il n'est, c'est le moins que l'on puisse dire, pas du tout raciste explique lui même dans l'Equipe que : "Que 26 joueurs sur 30 qui passent par l'INF rejoignent une sélection étrangère, ça ne vous choque pas ? Ce n'est pas normal qu'on se pose le problème ? On a mis en place des structures nationales qui servent aux autres. Quelle que soit leur origine, une majorité de Français, en sachant ça, doit se dire qu'on est fou. Moi en tout cas, je trouve ça normal qu'on ait posé le débat. C'est notre boulot, et c'est dommage de devoir se justifier, surtout que cette discussion en est restée au stade de la discussion. Il n'y a eu aucune conséquence."

Par ailleurs, il fut question de la surreprésentation d'un certain profil de joueurs au détriment des autres :

Laurent Blanc: On veut pas éliminer les étrangers, pas du tout, mais faire en sorte que les pôles Espoirs ou les pôles de la DTN testent sur des critères mieux définis pour pouvoir attirer d'autres personnes, parce que si on a toujours les mêmes critères, y aura toujours les mêmes personnes. Et plus ça va, plus ça va être encore davantage. Parce que je suis sur les terrains tous les samedis, je vois quelques centres de formation: on a l'impression qu'on forme vraiment le même prototype de joueurs: grands, costauds, puissants. Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants ? Les blacks. Et c'est comme ça. C'est un fait actuel. Dieu sait que dans les centres de formation, dans les écoles de football, ben y en a beaucoup. Je crois qu'il faut recentrer, surtout pour des garçons de 13-14 ans, 12-13 ans, avoir d'autres critères, modifiés avec notre propre culture. Je vais vous citer les Espagnols: ils n'ont pas ces problèmes-là. Ils ont des critères de jeu qui sont très précis, à 12-13 ans.

Erick Mombaerts: C'est ça le projet.

Laurent Blanc: Avec notre culture, notre histoire, etc. Les Espagnols, ils m'ont dit: "Nous, on n'a pas de problème. Nous, des blacks, on n'en a pas."

Erick Mombaerts: Mais Laurent, le phénomène que tu évoques, c'est tellement ancré chez nous que les petits gabarits blancs qui sont dans les pôles Espoirs, les clubs pro me les laissent sur les bras. Ils ne les prennent pas, n'importe comment, même si c'est des bons joueurs!

Laurent Blanc: Les clubs ils auront toujours leurs critères de sélection. Ça tu pourras pas... Même si en formant des éducateurs, tu vas pouvoir peut-être à la longue changer un petit peu les choses, ou influencer un peu. Mais c'est surtout dans les pôles qu'il faut avoir ces critères-là. Un participant sort de ses gonds et rappelle qu'un bon joueur est efficace quelle que soit sa couleur de peau, rouge ou blanche, sa taille, grande ou petite.

Laurent Blanc: Oui, mais en ce moment tu n'as pas le choix puisque tu as toujours le même stéréotype de joueurs, tu exagères. Je vois les centres de formation, je les vois de Bordeaux, des cités, et tu as toujours le même stéréotype de joueurs, je suis désolé ! Tu vas aller au centre de formation de Bordeaux, tu vas prendre les joueurs, mais des petits bons joueurs, tu n'en auras pas. Donc il faut inciter.


Il est tout à fait naturel que ce genre de questions soient posées (simplement posées, c'est ça le pire !) pour l'avenir du football français. Le déchaînement médiatique et le bêlement en coeur des moutons télévores nous rappellent que l'on vit dans un pays de fous furieux. Et les piteuses excuses de Laurent Blanc (qui a nommé l'arabe Samir Nasri capitaine de l'équipe de France) n'y changeront rien.

Le seul, en dehors des incriminés, à faire preuve de bon sens, c'est Didier Deschamps : " On ne peut pas croire à de telles réunions et à de telles décisions. Regardez notre équipe, il y a des joueurs qui viennent d'Afrique noire, d'Afrique du Nord ou encore d'Amérique du Sud. Ça créé le buzz, mais je suis comme Saint-Thomas, je ne crois que ce que je vois. Après, ce n'est que du bla-bla. Il est très grave de porter de telles accusations. Laurent Blanc, je l'ai côtoyé comme joueur dans le groupe France 98 qui fut une équipe multiraciale. Je ne peux pas penser qu'il puisse être associé à de telles décisions. On était fier et on l'est toujours de cette identité. "

Il n'empêche que quand Anne Lauvergeon, la présidente d'Areva, disait " A compétence égale, et bien désolé, on choisira la femme, ou on choisira la personne venant d'autre chose que le male blanc...", ils n'étaient pas si excités, ces connards de journalistes gauchistes...

Laissons le mot de la fin à Serge de Beketch :


Beketch, Chirac et le foot par angel_guts

Parce que le foot, c'est de la merde...

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