lundi 2 mai 2011

Le Hamas rend hommage à Ben Laden !



Le mouvement islamiste palestinien Hamas vient de condamner la mort de Ben Laden, le qualifiant de "saint guerrier arabe" et "demandant à Dieu de le traiter avec la miséricorde dûe aux vrais croyants et aux martyrs".

Comme un pied-de-nez à Alain Soral qui, se démarquant d'une vision caricaturale selon laquelle les musulmans formeraient un bloc monolithique, s'était fait l'apôtre d'une vision non moins binaire selon laquelle il fallait distinguer les racailles salafisto-saoudiennes d'un coté (même s'il mit de l'eau dans son vin en se rendant compte que certains de ses supporters étaient salafistes - que voulez vous, il faut ménager sa clientéle...) et les "résistants au nouvel ordre mondial" de l'autre, en premier lieu desquels l'Iran, le Hezbollah et le Hamas, comme si une frontière strictement étanche séparait ces deux catégories (autre exemple : les chiites irakiens étaient autrefois les alliés des kurdes majoritairement sunnites).

Pour résumer, alors que le simplisme islaphomobe absolutise les convergences, le simplisme soralien absolutise les divergences.

Sur ce blog, nous n'aimons pas trop Riposte Laïque, Les Identitaires et Résistance Républicaine. Pas parce que nous sommes des dhimmis, mais parce nous défendons autre chose que la liberté des pédérastes de s'enculer et de se droguer dans les backrooms dégueulasses de leurs dépotoirs dansants, la liberté des grognasses de persécuter les hommes, et la liberté des Juifs de tyranniser l'Aryanité au nom d'une chose que ces étrangers appellent "Shoah" et qui semble est devenu l'objet d'un culte dont les fidèles - et ô combien dévots - sont les zombies goys du Troisième millénaire...

Cela ne veut pas dire qu'il faut se voiler la face : oui, l'Islam, qui est tant une religion, qu'une communauté culturelle, et qu'un système politico-juridique s'impose peu à peu dans l'espace public sans rencontrer beaucoup de résistance, et oui, quand nous serons minoritaires, il est probable que nous devrons vivre dans un pays islamique, même si la laïcisation croissante des immigrés semble indiquer que l'on se rapprochera davantage du modèle turc ou tunisien que du modèle saoudien... Bref, oui, l'Islam est l'ennemi de l'Europe dès lors qu'il y pénètre, et oui, il est notre devoir d'européens de s'y opposer avec la plus grande fermeté. Ce qui ne veut pas dire que nous ne pouvons pas partager certaines valeurs avec les musulmans et maudire autant que certains d'entre eux la modernité, ni que nous ne pouvons pas soutenir, sur le plan géopolitique, certains musulmans, comme les résistants libanais, iraniens ou palestiniens, en prenant garde évidemment de ne pas sombrer dans l'idolâtrie, de rester critiques et d'avoir bien conscience du fait que nos intérêts ne se confondent pas en toutes circonstances.




On se souvient que Soral avait blâmé Marc-Edouard Nabe, son ancien ami (en fait, d'après Nabe, Soral jouait les pique-assiettes, ce qui ne serait guère surprenant), pour avoir clamé son admiration d'Al-Qaïda, de Ben Laden et des attentats du 11 Septembre. Comme son faciès de marsupial l'indique, Nabe est le produit d'un improbable mélange turco-italo-grec, et comme la plupart des produits de la dissolution raciale, il est un des plus enthousiastes apologistes de la mort de la race blanche. Goûtez donc sa prose :

"Je suis très raciste. J'espère que les Noirs vont finir par enculer tous les Blancs et les assombrir pour toujours.
Le métissage n'est pas une solution pour empêcher le racisme mais pour l'accroître. C'est sa seule vertu...
"

" La plus belle race du monde, ce sont les nègres! Sans discussion possible! Race de splendeurs, d'élégance, de magie. Race des rites et de possessions. Les Noirs sont la race la plus noble, celle qui se fait le moins chier, celle qui contient les plus beaux spécimens de merveilles physiques, la race esthète par excellence, celle qui pue la force et la santé, la gaieté et la sagesse, la grâce et le bonheur. Je suis tellement fanatique de pannégrisme que j'ai tendance à mettre tous les nègres dans le même sac. "

" Le Blanc, voilà la sous-race ignoble, celle que je méprise le plus.
Celle qui n'a rien pour elle, que du mauvais, tout mauvais. Ridicule et puis c'est tout. Le Blanc ne transporte rien. Si par malheur il n'est pas juif, je ne donne pas cher de sa peau. Tellement nul que les Noirs n'en feront qu'une bouchée. Nous ne sommes que d'anachroniques sursitaires bien fragiles: peu à peu les goyes disparaîtront.
Si le métissage est provisoire, une technique pour supprimer l'homme blanc de la terre, alors je suis d'accord. Que trois ou quatre nègres bien membrés viennent nous bouffer ces millions d'Américains, de Russes, d'Allemands, de Français, d'Italiens, d'Espagnols, d'Anglais, de Roumains, de Suisses, d'Australiens et d'Ardennais!
Tout pour les Noirs! Si vous avez besoin de renfort, les Arabes et les Jaunes viendront vous donner un coup de main, mais je vous en prie: faites nous crever!
"

Regardez un peu Nabe se tortiller sur sa chaise, alors qu'il est attaqué par la lesbienne constipée Caroline Fourest (cherchez pas, toutes les femmes sont constipées) pour racisme, tandis qu'effectivement, le fait de qualifier Rama Yade (la femme d'un chanteur yiddish) d' "africaine" était, dans sa bouche, un grand compliment :


Nabe dérape sur les Africains, Fourest relève par prochoix

Avec de telles merdes, il est important de ne pas céder à la violence, car il y a d'autres solutions. Débarquer dans une séances de dédicaces ou un salon du livre, afin de discuter avec lui, par exemple. Éventuellement, s'il fait froid, munis de gants, et, si vous vous êtes cassé une jambe, de béquilles...

14 commentaires:

  1. "Nabe est le produit d'un improbable mélange turco-italo-grec, et comme la plupart des produits de la dissolution raciale, il est un des plus enthousiastes apologistes de la mort de la race blanche"

    C'est quoi ton problème contre les Italiens et Grecs (Blancs) ?
    Le père de Nabe est né à Istanbul, ça ne veut pas dire que c'est un Turc, ça c'est Wikipédia qui le dit.

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  2. Wikipédia n'est pas le seul site à présenter Marcel Zannini comme un musicien de jazz d'origine turque : http://www.qype.fr/events/426046-Marcel-Zanini-Et-Son-Orchestre-Concert-La-grange-Saint-Michel-La-Sorbonne-Quartier-Latin-Paris

    Si tu as des éléments tendant à montrer qu'il n'est pas d'origine turque, j'actualiserais l'article.

    Je n'ai pas grand chose contre les Italiens ou les Grecs (qui, sur le plan racial, ne sont pas très éloigné des stambouliotes, au passage).

    Simplement, et c'est évident pour tout le monde, il n'est pas rare d'en voir certains dont le profil racial est relativement trouble, ça ne date pas d'hier (la Rome décadente était un leu hautement cosmopolité dominé par toutes sortes de levantins) et Marc-Edouard Nabe est en la preuve vivante. Julius Evola, qui était lui-même d'origine sicilienne, dénonçait bien l'influence, dans les mondes hellène et latin, des éléments étrusque ou pélasgiens et de leurs cultes chtoniens.

    Je vais te faire une confidence : j'ai moi-même un grand père italien (du Nord, c'est vrai). Ne te vexe pas pour si peu.

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  3. Je ne me vexe pas, je suis Hellène et je n'aime simplement pas qu'on mélange des races nobles et pleinement européennes (Italiens et Grecs) à des métis eurasiens (Turcs).

    Je n'ai pas d'éléments qui prouvent qu'il n'est pas d'origine turque mais tu n'en as pas assez qui prouvent le contraire non plus.

    Etre né à Istanbul ne fait pas de toi un Turc. Surtout à cette époque là (1923), Il restait encore beaucoup de Grecs.

    Alors ça me fait simplement conclure que c'est un Italo-grec né à Istanbul sur le sol de la République Turque, anciennement la capitale de la Grèce. Je n'en ai pas la preuve, c'est juste mon sentiment.

    Concernant le plan racial des Italiens ou des Grecs pas très éloigné des stambouliotes, oui je suis d'accord étant donné que les Stambouliotes sont majoritairement des Grecs/Thraces turquifiés... Mais des Turcs dans leur ensemble, non.
    Et leur ensemble comprend les Perses, les Kurdes, les Arabes, les Hittites, Arméniens, Assyriens, Caucasiens, musulmans Tatars, Syriens additionés à leur partie turco-mongole alors non, ils sont fort éloignés de ce peuple métis qu'on appelle les "Turcs".

    Pour ce qui est de la Rome cosmopolite, je n'ai pas envie de m'étaler la dessus mais je sais bien que c'est un mythe fortement ancré dans les pensées.

    Un peu de lecture : http://italianthro.blogspot.com/2010/09/few-foreigners-in-ancient-rome.html

    En résumé, selon l'historien David Noy, les étrangers à Rome venaient des quatres coins de l'Europe et ceux qui étaient soi-disant levantins étaient en fait des Grecs et leur population ne formait à peine que les 5%...

    Les Pélasges sont les ancêtres des Ancient Grecs et les Etrusques sont un peuple indo-européen qui est à la base de Rome. Donc je ne vois pas où Evola veut en venir ???

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  4. 1) Je t’accorde que la Turquie est relativement composite sur le plan racial. Je t’accorde même que, selon les études génétiques dont j’ai pris connaissance, la mer Noire formerait une (relative) barrière raciale. De là à faire comme si les Grecs étaient aussi éloignés des Turcs que les Scandinaves des Ethiopiens, il y a un pas que je ne franchis pas. Regarde, par exemple, ces visages composites :

    - Grèce : http://dienekes.awardspace.com/blog/archives/000307.html
    - Nicosie, coté grec de la frontière : http://www.flickr.com/photos/istanbulmike/2267014796/
    - Istanbul : http://www.faceoftomorrow.com/images/istanbul1.JPG
    - Ankara : http://www.faceoftomorrow.com/images/ankara1.JPG

    On peut pinailler sur la représentativité des échantillons, mais tu m’accorderas que pour que les distances soient, sommes toutes, assez peu marquées, il faut bien qu’il y ait des grecs à l’aspect levantin.

    Voici ma vision de la Race : la diversité biologique et spirituelle de l’humanité existe bel et bien, mais elle se répartit selon un continuum (qui n’est néanmoins pas linéaire) plutôt que dans des catégories strictement tranchées. Il est probable qu’en remontant à des milliers et des milliers d’années, la plupart des Blancs, si ce n’est tous, ont un aïeul non-blanc.

    La Race telle qu’on la désigne est également une construction sociale, qui, autour d’un substrat humain relativement homogène sur le plan biologique, et soudé par des affinités culturelles et historiques, forment une entité sociale identifiée comme telle par les autres et par elle-même. Sera déclaré membre de cette Race celui qui sera reconnu socialement comme tel, parce qu’il s’inscrit dans la continuité de la lignée.

    C’est pour ça que les Stambouliotes sont perçus comme irremédiablement non-Blancs, et les Grecs comme totalement Blancs : parce qu’entre eux-deux, il y a un monde de différence, et que le sang a coulé, dans l’histoire, dans la lutte pour la vie entre les Européens et les Ottomans.

    Bref, sous cette acception, je considère les Grecs comme des Européens. J’ai simplement le droit de remarquer qu’ils sont un peu moins différents des Turcs que ne le sont les Hollandais...

    2) Cela dit, quelles que soient tes origines, ici tu es en France, et il est regrettable qu’au fond, tu ne te considères que comme Grec. Preuve s’il en est que l’assimilation des Européens eux-mêmes a des ratés... Surtout dans le cas des sud-européens d’ailleurs, et je le dis sans animosité.

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  5. 3) Je n’ai pas trouvé l’arbre généalogique de Nabe, mais un texte d’Ardisson sur cet écrivain, paru sur le site de Nabe lui-même, dit qu’il est d’origine turque :
    http://www.alainzannini.com/index.php?option=com_content&view=article&id=2261:thierry-ardisson-cyril-drouhet-a-joseph-vebret-dictionnaire-des-provocateurs-2010&catid=75:ils-en-parlent&Itemid=87

    Tu admettras que les éléments semblent indiquer qu’il est bien d’origine turque...

    4) Je te remercie pour ton lien qui est très intéressant. Mais en l’absence des sources documentaires, ce sont des affirmations qui ne reposent sur rien. Je peux t’opposer des affirmations sourcées, comme celle du site White-History qui relève des citations d’écrivains romains sur le métissage à Roma : http://www.white-history.com/romanwriters.htm

    Et je pourrais te citer des empereurs romains arabes (http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_l%27Arabe) ou berbéro-syriens (http://fr.wikipedia.org/wiki/Caracalla).

    Evidemment, cela n’atteste pas d’un phénomène de grande ampleur. Et je veux bien croire que les étrangers qui affluaient vers Rome n’étaient pas non plus Noirs comme des Congolais. Mais l’historien que tu cites semble en plus se fonder, parfois, sur de simples spéculations comme lorsqu’il écrit : « The inhabitants of the area came from a wide variety of ethnic backgrounds (Italian, Greek, Punic, Libyan, Berber, Jewish), but, as with other areas, it is likely to have been the most romanized/hellenized section of the population which provided most of the free migrants to Rome. »

    Le «likely» veut tout dire... Quant au fait que des populations aient pu être «héllénisées» ou «romanisées», ça n’atteste pas de leur européanité sur le plan racial.

    L’historien André Lama soutient la thèse de la submersion ethnique de l’Empire Romain. Comme le site «White History» d’Arthur Kemp, sources à l’appui (dont une étude universitaire disponible en ligne) : http://www.white-history.com/romefall.htm


    5) Il y a différentes théories à propos de l’origine des Pélasgiens et des Etrusques... Mon commentaire ne visait pas à prendre parti dans cette controverse qui est infiniment complexe mais à expliquer que des auteurs comme Evola, qui est sicilien, ont pu dénoncer l’influence spirituelle de populations pourtant socialement considérées comme Blanches, ou en tout comme étant les ancêtres de populations actuellement considérées comme Blanches.

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  6. 3) André Lama et Arthur Kemp sont des charlatans en herbe, largement réfutés par des anthropologues comme J. Lawrence Angel, Coon, Sergi, Ripley.
    Un amateur grec d'anthropologie comme Dienekes Pontikos les a déjà assassiné à maintes fois. (http://dienekes.110mb.com/)

    http://dienekes.110mb.com/articles/kemp/
    http://dienekes.110mb.com/articles/kempsslander/

    Je n'ai même pas besoin de textes et de sources pour prouver que les Grecs/Italiens sont les descendants de leurs ancêtres, il suffit d'une paire d'yeux et de bon-sens.

    Regarde les bustes, les portraits et les peintures.

    http://dienekes.110mb.com/pictures/composites/
    Ici un composite des Anciens Grecs comparé à un composite des Grecs modernes, on dirait une copie carbone.

    Une vidéo de comparaison assez bien faite
    http://youtu.be/pdUPYm06gVc

    Quelques comparaisons par mes soins

    http://www.phyrefile.com/image/view/YCqgCh8ht2GUMM2L
    http://www.phyrefile.com/image/view/xBFC7KHg5PSNp2yj
    http://www.phyrefile.com/image/view/ZFBY0oR2aCZkdoeG
    http://www.phyrefile.com/image/view/OnE8sHpb3GbIzRAN
    http://www.phyrefile.com/image/view/K4unEgVW1kKolhfL

    http://lefilsdesparte.blogspot.com

    http://racialreality.110mb.com/

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  7. 1) Tu sais, il est probable que si des Turcs ont un peu de sang Grec, des Grecs aient un peu de sang Turc. Pour se métisser, il faut être deux.

    Mais j'en conviens, il suffit de regarder des images d’Istanbul que globalement, ce sont plus les Turcs qui ont été Européanisés que les Européens qui ont été turquisés. Je pense aussi que globalement, les Grecs ont des visages de Sud-Européens classiques. Tout mon propos consiste à dire qu’une partie des Grecs, des Italiens du Sud, des Espagnols du Sud (c’est aussi vrai ailleurs, dans un autre registre, en Hongrie, en Bulgarie ou même en Scandinavie puisqu’il y a les Sames) ont des visages approchant de ceux des levantins et que globalement, un européen méditerranéen sera moins différent de ses voisins immédiats que ne le sera un Européen du Nord de ces derniers.

    2) Loin de moi l’idée de te contredire sur ce point. Je dis simplement que pour que les visages composites soient un peu foncés, il faut bien qu’il y ait quelques grecs foncés.

    3) Dienekes Pontikos soutient aussi que la race blanche est impure et ce faisant, il confirme plus ou moins les vues d’Arthur Kemp sur ce point (qui, lui, affirme qu’il existe encore des Blancs «préservés» dans ces régions-là et d’autres qui ne le sont pas).

    Voir : http://dienekes.awardspace.com/blog/archives/000330.html

    Où il dit notamment : Since Europeans are not aware of being part of a "pure" and a "mixed" group, and marry each other freely, it follows that a "pure" and a "mixed" group can not exist separate from each other. For example, suppose that according to Mr. Kemp's estimation, a country has 70% "pure whites" and 30% "mixed race" population. Since the inhabitants of that country are not aware of this, each of the 70% "pure whites" will marry a "mixed race" person with probability 0.3. In the next generation, the "pure white" population will be reduced to 70%-0.3*70%=49%. This process will continue to decrease the "pure race" population to non-existence.

    Plus de détails sur les convictions raciales de Dienekes Pontikos sur : http://www.white-history.com/whois.htm

    Ceci étant, tu t’écartes totalement du sujet de ce point puisque nous parlons du cosmopolitisme de Rome et non de la Grèce antique. Kemp et Lama soutiennent qu’il y eut une vaste modification du substrat racial romain lors de sa décadence. La statuaire et l’iconographie grecques n’a rien à voir avec cela.

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  8. 1) Tu mélanges un peu tout chronologiquement en disant cela. Les Grecs sont une partie des ancêtres des Turcs, or je vois mal comment les Turcs puissent être une partie des ancêtres des Grecs alors que ce peuple n'existait pas à cette époque là. Les Turco-mongoles venus d'Asie ont absorbés les anciennes populations greco-thraco-phrygiennes d'Anatolie pour créer un empire musulman avec de grosses minorités Kurdes, arméniennes,syriennes, etc; l'empire Ottoman.
    Ce ne sont pas les Grecs de Grèce qui ont absorbés les Turco-mongoles pour y créer l'Empire byzantin que je sache ou alors il faut refaire l'histoire.

    2) Oui, à la différence que ces Grecs foncés sont des autochtones depuis l'époque de Périclès en adéquation avec la tradition ethnographique grecque... Que tu les considères comme levantins alors qu'ils sont Grecs, c'est un autre problème.

    3) Je crois que tu as mal compris le propos de Pontikos, il démontre par un calcul fort simple que dans un espace de temps aussi long et étalé sur plusieurs générations, il est impossible qu'il existe des personnes pures et des personnes mélangées. Soit ils sont tous purs, soit ils sont tous mélangés, mais pas les deux.
    Il réfute justement l'argument de Kemp...

    Et concernant ces convictions raciales, elles sont fort simples et largement acceptée par les anthropologues, pour lui il n'y a pas de race blanche mais caucasoïde.

    Maintenant, je ne partage pas forcément son avis. Pour moi le continent européen est le plus homogène par rapport à tous les autres. Il n'y a pas un seul autre continent où les différences génétiques et physiques sont si faibles.
    Un euro-méditerranéen est plus proche de ses voisins européens que ne le serait un Nord-africain/Oriental d'un euro-méditerranéen.

    Kemp soutient aussi qu'il y eut une vaste modification du substrat racial grec. Ce qui est risible. Par qui ?
    Les Arabes ? Ils n'ont jamais foutu un pied en Grèce.
    Les Nord-Africains ? Ils n'ont jamais foutu un pied en Grèce.
    Les Perses ? Ils sont venus, ils ont vus, ils ont étés vaincus.
    Les Turcs ? Eux mêmes partiellement grecs, leur invasion était de type militaire et pas de peuplement comme les occidentaux le connaîssent avec les afro-asiates, leur nombre ne devait pas dépasser les 50 000.
    Les Phéniciens ? Aucune colonisation non plus, Un seul poste de commerce en Crète.
    Les Juifs ? Expulsés, comme partout ailleurs.

    Maintenant il y'a les Nègres et les Pakis que les Turcs nous envoient en nombre et je pense que c'est la seule grande invasion conséquente qu'on a connu.

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  9. 1) Dès lors qu’il a existé un métissage entre des Turcs et des Grecs, je veux dire qu’il n’est pas interdit de penser qu’une partie des enfants de ce mélange (à des degré divers évidemment) ont été considérés comme «Grecs» comme d’autres ont été considérés comme «Turcs». Par exemple ceux qui étaient orthodoxes, de culture grecques mais avaient un grand-parent turc. Encore aujourd’hui, il existe des régions de Grèce peuplée de fortes minorités turques, comme la Thrace occidentale. On ne me fera pas croire que cela n’a laissé aucune trace coté grec. De même que la présence de slaves au nord de la Grèce aura probablement laissé des traces, d’ailleurs.


    2) Je ne suis pas un expert de l'ethnographie grecque et je ne saurais te dire à quand remonte tel ou tel caractère de leur phénotype. Je sais juste que celui-ci découle de leur génotype, et que si certains ressemblent à leurs voisins levantins, il n'y a pas de secret : soit ils se sont mélangés, soit ils ont des ancêtres communs. Et si la deuxième hypothèse est la bonne, le fait que les Grecs et les Européens du Sud en général ressemblent davantage aux non-Blancs que les Européens du Nord signifie qu'ils ont un peu plus d'ancêtres non-Blancs que ces derniers. Il n'y a pas de secret. Tu as, j'ai, les Européens du Nord aussi ont, selon toutes probabilités, des ancêtres non-Blancs. La génétique des populations l'a suffisamment démontré. Est-ce que cela signifie que toi et moi, et les Grecs, et les Italiens, et les Européens du Nord ne sommes pas Blancs ? Non, parce que la Race est plus qu'une simple catégorie taxonomique, non ensuite parce que si je renverse un verre de vin dans un lac, il restera rempli d'eau. De manière tout à fait neutre, je remarque néanmoins que plus on va vers le Nord de l'Europe (sauf exception puisqu'il y a les Sames), plus le phénotype des habitants est différencié de celui des arabes, des noirs et des asiatiques.

    3) Je crois que j’ai au contraire très bien compris le propos de Pontikos. Par contre, tu devrais lire le lien d’Arthur Kemp à propos des convictions de Pontikos. D’ailleurs, que penses-tu; par exemple, du point 6) de ce lien : « 6. Pontikos insults Greeks, calling them “not mainstream Europe” and says he is not worried about “swarthy” race-mixing taking place with White Greeks. »

    Ou du point 5) dans lequel on apprend que pour Pontikos, si l'on générait une image moyenne de tous les êtres humains, un méditerranéen en résulterait ?

    Encore une fois, je suis convaincu que selon l’acception strictement biologique du mot «Race», la pureté raciale absolue n’existe pas mais qu’il existe bel et bien une pureté raciale relative - par exemple en Europe, comme tu le remarques, à juste titre -, et que la diversité raciale se répartit selon un continuum. C’est aussi vrai dans le cas des «Blancs» (sous entendu : les Européens et les Eurodescendants) que des «Caucasiens» : En Asie, ou en Afrique, peux-tu me citer une ligne de démarcation absolue entre caucasoïdes, négroïdes et mongoloïdes ?

    Il n’empêche que Si Kemp soutient également l’idée d’une modification du substrat racial grec, le livre de Serge Lama était intégralement consacré à la question de l’empire Romain. Tu aurais pu te renseigner avant de le traiter de charlatan.

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  10. 1) Ce métissage était largement unidirectionnel, il est pré-ottoman et pré-byzantin.
    Les indigènes de l'Anatolie (Lydiens-Hittites), les colons indo-européens pré-hellène (Thraces, Phrygiens) ainsi que les colons ioniens (Grecs) ont fait partie du même pays pendant des millénaires en Asie Mineure, ils se sont mélangés mais un beau jour les Turco-mongoles ont débarqué et ils se sont raliés avec eux pour créer leur propre identité et s'islamiser avec plusieurs autres peuplades. Naquit, les Turcs. Ils sont donc ipso facto partiellement Grecs.

    Dans la suite chronologique, l'inverse n'est par contre pas vrai et facilement démontrable. Les Turcs Ottomans qui ont envahis la Grèce ne les ont pas absorbés, ils leurs ont laissé leur culture, leur religion, leurs traditions, leur différence. Les Grecs ne se sont pas ralliés et ne les reconnaissaient pas comme des leurs, ils ont toujours marqués une différence, il y avait et a toujours eu des barrières politico-religieuses et ont payé très cher et souvent de leur sang cette différence alors qu'ils auraient très bien pu se convertir à l'islam et ne plus vivre comme des citoyens de troisième zone.
    Ce qu'ont d'ailleurs fait les Albanais. Là on peut dire véritablement qu'il y a eu une influence turque chez eux qui est vérifiable historiquement. Dans certains villages, les hommes prennaient des femmes turques comme épouses et célébraient leurs marriages à la turque.
    On peut en dire autant des Grecs ou des Serbes ? Jamais.

    Je n'ai pas dit qu'il n'y a jamais eu d'influences turques mais c'est trop faible que pour le souligner et aucune source historique ou génétique ne peut l'appuyer, au contraire, l'histoire ne parle que de Massacres et de rancoeur, les enfants issus de viol étaient répudiés. Pour se métisser, il faut s'aimer or ca n'a jamais été le cas entre les Ottomans et les Grecs, tandis que c'était le cas pour les populations greco-anatoliennes en Asie Mineure qui ont accueillis à bras ouvert les Turco-Mongoles. Et pour la génétique, Les Grecs n'ont pas toutes sortes d'haplogroupes mongoloïdes et sémites que les Turcs ont.

    Les Turcs de Thrace sont des Grecs de papier et absolument pas considérés comme Grecs.

    2) Premièrement, Le génotype n'est pas lié au phénotype.

    Deuxièmement, il suffit de se renseigner sur les écrits des Anciens Grecs pour connaitre leur tradition ethnographique, les yeux bleus étaient considérés comme une sorte de cataracte ou une maladie, ce que Polémon disait à propos des cheveux blonds n'était pas très flatteur pour les nord-européens.

    Et troisièmemment, en effet les sud-européens, Grecs et Italiens, (Italiens du Nord inclus même si un peu plus faible que les Italiens du Sud mais beaucoup plus fort que les Français) (pas les Espagnols, leur peuplement s'est fait autrement) et dans une extension plus faible, européens du Centre comme les Français ou Autrichiens, ont des ancêtres communs avec les agriculteurs du Néolithique provenant de Mésopotamie il y a 10000-15000 ans.
    De l'eau à coulé sous les ponts depuis cette époque pré-historique et les gênes et les peuples ont évolués dans des environnements différents.
    Comme le climat de l'Italie et de la Grèce n'est pas beaucoup plus froid que le proche-orient, les gênes ne se sont pas démarqués fortement mais se sont divisés en clades tout de même. L'haplogroupe typiquement sémite J1 est inexistant dans le Sud de l'Europe). Voilà pourquoi certains Grecs/Italiens ont un aspect "levantin".

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  11. Une explication un peu plus claire par Pontikos :

    Lie #1: Kemp asserts that I believe that "North Africans and Southern Europeans are the same race."

    "Incorrect. I believe that they share some common ancestry, due to the Neolithization process which was carried out by Mediterraneans from the Near East...
    The signature of the Neolithic diffusion has been detected in maternally inherited mitochondrial DNA (primarily haplogroup J) and paternally inherited Y-chromosomes (haplogroup HG9) . The anthropologically Mediterranean character of the first farming communities is well-known [3, 10, 11, 14]. Additionally, circum-Mediterranean populations have frequently evolved along parallel lines due to living in similar environments, far away from the cold north or the tropical equatorial regions. Finally, contrary to what Kemp believes, physical anthropologists who believe in the concept of race routinely classify non-European Caucasoids and European Caucasoids as part of the same, Caucasoid race [3, 4, 5] and this is also clearly visible in terms of their genetic variation [12, 13, 15]. "

    3) Je te propose de lire les réponses de Pontikos à Kemp : http://dienekes.110mb.com/articles/kempsslander/

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  12. 1) J'ai déjà donné mes arguments sur ce point et je n'ai pas envie de passer mon temps dans un dialogue de sourds. Toutes les études génétiques montrent que les Grecs sont plus proches des Turcs que des Scandinaves. Y compris celle du blog dont tu as donné le lien et qui présente la mer Noire comme une barrière raciale.

    2) Le phénotype n'est pas lié au génotype ?

    Content que vous reconnaissiez que certains Européens du Sud ont un aspect proche de celui des levantins. Fatalement, s'ils ont des ancêtres communs et qu'ils ressemblent à des gens qui ressemblent davantage aux non-Blancs que d'autres européens,c 'est qu'ils ont plus d'ancêtres non-blancs qu'eux. Cela appartient à la logique la plus élémentaire.

    3) Sa réponse apporte quelques nuances (avec un peu de mauvaise foi car les posts de Pontikos sont reproduits et qu'ils amènent spontanément le lecteur à faire les mêmes interprétations que Kemp), mais à peu de choses près, il confirme ce que dit Arthur Kemp. Résumons :

    Point 1 => Kemp dit : " Pontikos believes that North Africans and Southern Europeans are the same race. "
    Pontikos répond : " I believe that they share some common ancestry, due to the Neolithization process which was carried out by Mediterraneans from the Near East. I also believe that if one goes from Spain to Morocco in a clockwise fashion along the Mediterranean coast, there is no point in which one can say “race A” has ended, and “race B” has began " et " Finally, contrary to what Kemp believes, physical anthropologists who believe in the concept of race routinely classify non-European Caucasoids and European Caucasoids as part of the same, Caucasoid race [3, 4, 5] and this is also clearly visible in terms of their genetic variation [12, 13, 15]. "

    Point 2 => Kemp dit que Pontikos pense que lke métissage de détruit pas les Races. Ce dernier répond que le métissage forme de nouvelles races. Sa réponse est valable.

    Point 3 => Kemp dit que Pontikos pense que le métissage est une bonne chose et a des effets positifs. Pontikos assume totalement et met simplement un bémol en disant qu'il y a aussi des effets négatifs : " “In some cases, like the Early Helladic population of Greece, the heterogeneous subracial elements fused to form a successful population (the Greeks) and the effects of effective fusion were visible in an increase in general health and vigor. In other cases fusion failed, e.g., due to the maladaptation of Native Americans to the presence of disease for which Europeans were well-adapted.” (Vous noterez qu'il parle de "fusion des éléments hétérogènes dans l'ancienne Grèce dans un post sur le métissage).

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  13. Point 4 => Kemp dit : « Pontikos insults Northern Europeans by calling them “unintelligent, but above all bellicose and cruel” and the original White Egyptians are dismissed as “lovers of money, conniving and untrustworthy.”«

    Pontikos répond que la citation a été extraite de son contexte et qu’il expliquait seulement le point de vue des anciens grecs. Il suffit de lire le post reproduit sur le site de Kemp pour voir que c’est très loin d’être évident. Il écrit cette phrase sur un ton descriptif sans jamais l’attribuer aux anciens grecs.

    Point 5 => Kemp dit : « Pontikos believes that if all of the races in the world were mixed together, a "Mediterranean" would result! »
    Pontikos répond qu’il ne parlait pas de métissage mais simplement de visages composites. Réponse valable.

    Point 6 => Kemp dit « Pontikos insults Greeks, calling them “not mainstream Europe” and says he is not worried about “swarthy” race-mixing taking place with White Greeks. «

    Pontikos assume totalement et répond : « Certainly, I am proud not to consider Greeks as “mainstream Europe.” We Greeks don’t want to be "mainstream,” we are happy being Greeks - nothing more, and nothing else. » Il dit aussi « In the long run, some mixing always occurs; it is inevitable. I certainly do not advocate fascist laws prohibiting Greeks from marrying whoever they want. » avant de justifier ça par une sorte de « supériorité grecque » qui les empêcherait de se métisser. On en reparlera dans 50 ans...

    Point 7 => Kemp dit « Kemp accuses me of disowning a blonde Greek girl »

    Sur ce point, la réponse de Pontikos me parait tout à fait valable.

    En résumé, je donne raison à Kemp dans 4 points sur 7.

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  14. "Content que vous reconnaissiez que certains Européens du Sud ont un aspect proche de celui des levantins. Fatalement, s'ils ont des ancêtres communs et qu'ils ressemblent à des gens qui ressemblent davantage aux non-Blancs que d'autres européens,c 'est qu'ils ont plus d'ancêtres non-blancs qu'eux. Cela appartient à la logique la plus élémentaire."

    Vous interprété tout à l'envers.
    Des ancêtres communs d'il y a 15000 ans dont l'origine est la mésopotamie ne signifie pas qu'ils soient non-blancs.
    Vous avez une représentation ethnique d'un agriculteur du néolithique ?

    l'haplogroupe R1b, le plus partagé par les européens du nord-ouest a pour origine l'Asie centrale il y'a 18000 ans. Cela signifie que les Anglais sont asiatiques ?

    On aurait tous un ancêtre d'Afrique, ça signifierait que l'humanité est africaine ?

    http://en.wikipedia.org/wiki/Haplogroup_R1b_%28Y-DNA%29

    Deuxièment, c'est évident que les Grecs sont plus proches des Turcs que des Scandinaves. Mais ils sont plus proches des européens du Centre que des Palestiniens.
    Et j'ai déjà expliqué les raisons, je ne m'étalerais plus là-dessus. Pour vous, les Turcs sont un peuple, et vos convictions anglo-saxonnes de qui est blanc et qui ne l'est pas est juste risible. Depuis quand les Scandinaves doivent être pris comme le modèle de la race blanche ?
    Je me fous des Scandinaves, je n'ai pas besoin de me comparer à eux pour y prouver l'européanité de mon peuple.
    Je laisse ça aux Français, sans doute qu'ils ont besoin de s'identifier à plus nordiques qu'eux pour se sentir pousser des ailes...

    Pontikos n'assume rien de ce que dit Kemp.
    Il ne s'inquiète pas trop pour l'avenir de son peuple et je suis tout à fait d'accord. Un peuple qui a changé 50 fois moins sa langue en 3000 ans que les Anglais en 300 ans ne se laissera pas mourrir sans se battre.

    On en reparlera dans 50 ans bien sur, tu verras que les Grecs seront toujours Grecs.
    Faut pas nous prendre pour des dégénérés même si le poison coca-cola essaye aussi de nous infecté, nous sommes immunisés jusqu'à la fin des temps. Pourquoi ? Parce que notre identité a passé son temps à se défendre des autres depuis qu'elle existe.

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